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dimanche 26 décembre 2010

Les bulles finissent toujours par éclater...

Les bulles de ‘savon’ finissent toujours par exploser !!!...
                Il n’y a pas besoin de faire les grandes écoles pour le savoir.


La finance déconnectée de l’économie réelle … ? mais pourquoi ?
Avant les actionnaires détenteurs du capital de l’entreprise de la société étaient en phase avec celle-ci. Ils étaient à la fois les dirigeants, les conseillers, les administrateurs. Quand l’entreprise traversait une période difficile, ils étaient là, pour corriger, orienter celle-ci. Ils étaient dans l’économie réelle.
Aujourd’hui l’entreprise ne leur appartient plus, ils ne sont plus ‘responsables’. Si l’entreprise va mal, ils ont aujourd’hui la possibilité de récupérer leur investissement et de laisser à d’autres, moins malins, moins filous le soin de corriger les erreurs, d’orientation où de gestion. Mieux, ils organisent les fluctuations de la côte de l’entreprise, par leurs actions, leur gestion par personne interposées, ou par des effets d’annonces pour prendre leur bénéfice avant que tout s’écroule. Via la bourse les prédateurs pillent le capital de la société, constitué et consolidé parfois par des aides de l’état.
La société pendant le même temps n’a que très peu variée, l’outil de production est le même, le marché toujours là ; seul peut être une correction d’orientation était à prévoir. La société est toujours en phase avec l’économie réelle. C’est l’économie réelle.
La finance joue donc sur un terrain artificiel et différent du quotidien de l’entreprise.
Elle possède bien sûr ces codes, son langage qui lui permet de naviguer dans la plus grande opacité à l’intérieur de la sphère économique.
Le jour où tout a basculé…un tout premier avertisseur avait déjà retenti lors de la crise des nouvelles technologies, quand un gamin plus malin que les adultes avec son ordinateur avait réussi à démontrer que l’on pouvait créer des richesses artificielles, en devenant milliardaire à 20 ans sans avoir jamais travaillé de sa vie. Pourtant aucun adulte sensé à l’époque n’a conseillé de prendre des mesure pour enrailler ce phénomène pervers ; mieux, les financiers de tous poils encouragés par les Etats ont repris à leur actif ce phénoméne pour en fabriquer une bulle spéculative démesurée, qui bien sûr, à fini par éclater. Cet exemple aurait dû suffire à des gens responsables pour en tirer les leçons, et éviter de se retrouver devant une nouvelle crise démentielle, et que nous devons affronter aujourd’hui encore. La crise actuelle ne nous est pas tombée dessus par hasards. En 2008 personne ne peut prétendre que cette crise était imprévisible.

Quand on souffle dedans, on sait déjà que la bulle de savon va éclater un jour… la seule chose que l’on ne sait pas : c’est quand ???

Les montages de certains produits amplifient encore cet irréalisme, quant au prêts accordés sans aucune vérification ni discernement, ils conduisent à la crise des ‘subprimes’.
Les banques ont outrepassées leurs droits, elles ont joué avec notre argent, et avec l’effet boule de neige de la bourse, ne sont plus capables de couvrir leur engagement.
Quand aux crédits viciés, aux produits dérivés, et autres titrisation qui ne servent qu’à la spéculation, c’est tout bonnement du vol qualifié.
Les banques chutent les unes après les autres, malheureusement les Etats leur apportent des liquidités pour éviter qu’elles ne coulent, et que l’économie réelle ne s’écroule à son tour.
C’est parce qu’elles savent que les états ne peuvent pas les laisser tombé qu’elles vont délibérément jouer au delà du raisonnable, acceptant toutes les dérives, et conduisant à la plus grande irresponsabilité. Comment est il possible qu’aucune ‘mise en examen’ n’ait été prononcée ?
L’irresponsabilité des actionnaires et administrateurs va couter aux ‘contribuables épargnants’ des milliards de dollars, puisqu’à travers la caution de l’Etat, c’est bien celle des ‘contribuables épargnants’ grâce à leur patrimoine qui payent leurs dettes de jeu.
Avant de remettre de l’argent dans les banques nous exigeons que l’Etat prenne pour nous toutes les garanties.

L’Etat doit mettre en place de nouvelles règles, avec interdiction de prêts supérieur à la possibilité de couverture. Interdire la titrisation. La cote devra se rapprocher de la valeur réelle des entreprises.
Enfin l’Etat doit contrôler et sanctionner lourdement tous les vrais responsables, au lieu de désigner des boucs émissaires subalternes, pour sauver des têtes ; ou encore désigner comme coupable le système financier, et imposer à la justice de prononcer un ‘non lieu général’.


On vient de découvrir qu’il y avait deux systèmes économico financier ; le virtuel et le réel.
Le Monopoly avec des billets factices et en grande quantité et celui qui veut qu’on travaille tous les jours, le vrai, le réel. Il ya celui ou l’on fait semblant et celui ou on produit de vrais richesses. Peut être comme il n’y a pas de boulot pour tous, certain s’amuse à un autre jeu. Il pari notre argent, celui que vous avez confié à votre banquier. Il paraît qu’il parit même sur celui que vous et moi allons peut être gagner si nos salaires augmentent, et surtout si vous vendez votre maison plus cher que vous l’avez acheté ; c’est un nouveau jeu ; il l’on appelé les ‘subprimes’. Oui !c’est assez tordu pour venir des Etats unies. Non ! Je rigole on ne les à pas attendu en France pour faire des prêts à taux progressifs et surendetter un certain nombre de petits contribuables. Les vrais responsables sont ceux qui ont laissé mettre en place et encouragés de pareilles pratiques. Ceux qui ; pour boucler leur budget avaient besoin que les Français consomment. La course à la plus grosse bulle allait commencer…
C’est aussi la période où les Etats se sont surendettés. Misant sur le possible, sur le peut être.
Décidément ils ont bel et bien triché et confondu le fictif et le réel. Peut être nos dirigeants ne sont pas matures et comme les gamins mélangent le virtuel et le réel ??? Mais
 « Ce qui différencie les adultes des enfants c’est le coût de leurs jouets »
Aujourd’hui non seulement il supprime des employés, mais il diminue les salaires…bien sûr en commençant par les entreprises qui déclarent des bénéfices et qui distribuent malgré la crise des dividendes.
Ils vont pouvoir encore continuer…jusqu’à ce que la bulle sombre de l’emploi explose, alors attention aux dommages collatéraux !!!

Les bulles finissent toujours par exploser !!!

Pile je gagne …face tu perds…je mise à la hausse, je parie sur la baisse…
C’est le principe de base qui régit tout bon trader qui se respecte.
Le respectable Madoff n’a fait que reprendre ce principe pour son compte, ancrant son système sur la confiance, flouant des milliers de ‘joueurs’ volontaires, qui ont tout perdu quand la ‘pyramide’ des gains, n’a plus été alimentée, par de nouveaux arrivants… en mal de confiance.
Aujourd’hui ce sont des milliers de ‘madoff’ qui ne sont plus capable de rembourser ; les retraits simultanés, les contrats à termes, et bien sûr devant la perte de confiance générale, les nouveaux dépôts, les nouvelles mises n’arrivent plus…les banques s’écroulent et vont continuer à s’écrouler, (en 2009,10,11,12…jusqu’à ce que la confiance revienne…) ; sous la poussée des retraits et des contrats à terme. La pyramide échafaudée par les banques, et renflouée par les Etats, (avec l’argent des contribuables non volontaires) ne peut que continuer à s’écrouler…sur ce monde virtuel…tant que la confiance ne reviendra pas.
Les milliers de milliards versés négligemment par les Etats, pour combler le ‘trou’, seront engloutis par la vague scélérate qui continue d’agrandir la brèche ouverte dans la digue qui devait protéger nos économies.
Le bouc émissaire Madoff sera jugé et condamné…qu’en est-il des milliers d’autres ‘madoff’ respectables ???
Je suppose que l’explosion des…bulles, va éparpiller et faire disparaître les éléments de preuves à charges autorisant ainsi la justice à prononcer un ‘non lieu général’…en attendant que la confiance …ou l’amnésie …revienne.

Aujourd’hui de nouvelles bulles sont entrain de ce reconstituer, après que les états aient remis du carburant : des liquidités et de la volatilité sur les marchés ; deux ingrédients idéales pour la spéculation et les gains importants…avec toujours le surendettement des états donc des contribuables.
Mais maintenant les ‘banksters’ spéculent de la même façon sur les états et leurs monnaies.
Actuellement après l’Islande en faillite c’est la Grèce qui est sur la sellette.
Une banque d’investissement la conseille d’arranger son bilan, de tricher pour pouvoir entrer dans l’Europe ‘propre’. Aujourd’hui cette même banque qui connait pertinemment la faiblesse de ce pays, parie à la baisse la solvabilité et sur l’assurance de celle-ci. La Grèce est en faillite est la banque américaine a gagné beaucoup, beaucoup d’argent. L’année 2009 est une période de crise, c’est précisément cette année que toute les banques d’investissement font les plus gros profits.
Mais la banque ne peut être inquiétée, malgré l’immoralité de cette combine, car c’est dans la légalité qu’elle a simplement fait son job : gagner de l’argent.
En d’autre terme : vendu à son client sa dose de drogue pour calmer son addiction à la dette.
Et puis devant les réglementations qui commencent timidement à voir le jour ; mais surtout sachant que la nouvelle bulle, encore plus énorme que les autres est sur le point d’éclater, que l’économie est les monnaies vont s’effondrer ; elles (les grandes banques) se gavent un maximum pour leur dernier repas.
A nouveau renfloué par les états elles pourront recommencer…jusqu'à quand… ?  Jusqu’à la ruine de l’économie d’un nouveau pays victime de son prédateur. Un certain nombre sont déjà ciblé, en position d’attente, pour une future tonte… le Portugal, l’Espagne, l’Italie, la France...
La prédation à grande échelle ne peut pas s’arrêter tant que les états l’autorisent et l’encouragent.
Le pire c’est qu’il n’y a rien à faire qu’attendre pour ce faire plumer. Si l’Euro s’écroule c’est nos avoir (retraites salaires placements bas de laine…) qui vont s’écrouler, ne plus rien valoir. Mais comme le disent nos économistes préférés vous ne risquez rien, nos banques garantissent vos avoirs ; aujourd’hui vous possédez 1Million pour acheter par exemple : une maison ; demain vous aurez toujours 1 Million …mais ils ne vous disent pas, qu’avec ce million, vous ne pourrez vous acheter qu’une baguette, ou un béret…c’est bien pour un français.

 

 

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